Avant d’être le « village des peintres », Barbizon était un petit village de paysans…

Une exposition chinoise va nous le rappeler ! Avant d’être le « village des peintres », Barbizon était un petit hameau de paysans…

« … Des vergers touchaient le bois, le village naissait à sa lisière. De petites maisons aux volets gris, aux toits de tuile, élevées d’un étage, avec l’avance d’un auvent … Des murs au chaperon de bruyères sèches d’où sortaient et se penchaient des verdures de jardin, des façades de fermes avec leurs grandes porteJ charretières, commençaient la longue rue. »

Ed. et J. de Goncourt; « Manette Salomon », 1867

« Le hameau de Barbizon, car ce n’est en réalité qu’un hameau, consiste en une seule rue d’un kilomètre à peu près de long, qui se dirige directement de l’est à l’ouest, en décrivant seulement une légère courbe.
« Les maisons, qui n’ont qu’un étage ou deux au plus, sont séparées les unes des autres et présentent à la rue, tantôt leur façade, tantôt un de leurs pignons.
Edward Wheelwright : « Souvenirs de 1855-1856 »,
publiés en anglais, dans « Atlantic Monthly »(septembre 1876), traduits dans la « Revue Britannique» (nov. 1876)

La vie paysanne en 1850, à Barbizon

Gravure de Jacque La maison de Millet à Barbizon

Jean-François Millet Le jardin de Millet à Barbizon Crayon noir rehaussé de pastel 32×37 Musée M.Khalil, Le Caire

Jean-François Millet La Baratteuse 1866 Pastel 122×87 Musée du Louvre Paris

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Jean-François Millet La bouillie de l’enfant 1864 Crayon noir rehaut de craie 37×30 Musée Fabre de Montpellier

-Charles Emile JACQUE (1813-1894) -La bergerie Musée départemental de l’Ecole de Barbizon